C'était surtout l'occasion de faire mes premières photos au Zenith. Moi qui, pourtant, m'était juré, par expérience, de préférer les petites scènes :))
Le Zenith était en petite configuration, avec les côtés des gradins fermés : difficile de remplir une telle salle un dimanche soir.
Niveaux lumières, pas terrible en fait (paradoxal pour un Zenith) : lumière assez faible, et puis beaucoup de saturation : au début les rouges à fond, ensuite des couleurs qui saturaient, mais plus froides, donc plus facilement gérables. Point positif : la présence de la fosse entre la scène et le public, chose qu'il n'y a pas à la Vapeur.
Niveau organisation, tout était extrèmement millimétré : accès à la fosse uniquement lorsque le concert débute (malgré un magnifique bracelet "all access" jaune fluo qu'on m'avait remis à l'entrée).
Les photos étaient autorisées uniquement pour les 3 premiers morceaux de l'artiste principal comme à l'habitude, mais également pour les 3 premiers morceaux de la première partie ! j'avoue n'avoir jamais connu cela auparavant... :))
Une fois les 3 premiers morceaux de l'artiste principal écoulés, la sécurité raccompagne les photographes vers la sortie de la salle. Sans doutes pour éviter de continuer à photographier depuis le public... Si on le souhaite, il y a possibilité de rester pour assister au reste du concert, mais à condition de laisser son matériel à la consigne... chose que je n'ai donc pas faite, j'avais déjà vu Butler et n'en n'avais pas gardé un souvenir impérissable, juste sympathique.
En tous cas, si la sécurité est ferme, il faut tout de même reconnaître la diplomatie et la courtoisie des vigiles. C'est à souligner.
Expérience particulière mais intéressante donc. Et puis je reconnais avoir connu, en d'autres lieux, des conditions beaucoup plus drastiques.
Je retourne faire des photos au Zenith courant novembre.
voir la série photo musiques divers 33
John Butler, Dijon - septembre 2007 | |
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